Belgique
SommaireComprendreLa Belgique est un des plus petits pays d'Europe, membre du Benelux. Elle est bordée par la France au sud, le Grand-Duché de Luxembourg et l'Allemagne à l'est, les Pays-Bas au nord, et la Mer du Nord ...à l'ouest. Peuplée par trois communautés linguistiques inégalement représentées, la Belgique accueille aussi le siège d'une partie des institutions européennes et de l'OTAN à Bruxelles, sa capitale. Mais les questions linguistiques empoisonnent le pays. Influencées depuis l'Antiquité par le monde germanique (au nord) et le monde latin (au sud), les deux grandes communautés se font face depuis une cinquantaine d'années dans une crise apparemment insoluble. De l'indépendance du pays, en 1830, aux deux conflits mondiaux du XXe siècle, le Français fut la langue dominant les échanges économiques, l'armée, la politique. La frustration légitime des néerlandophones du pays a trouvé son paroxysme dans les années 1960, avec la scission linguistique de l'université catholique de Leuven en 1968 (Louvain, en français, dont l'équivalent francophone fut créé quelques années plus tard sous le nom de Louvain-la-Neuve en Brabant wallon) et la séparation progressive du pays de part et d'autre d'une frontière linguistique. Depuis, une grande partie des élites politiques néerlandophones caresse le souhait d'approfondir la fédéralisation du pays, jusqu'à la séparation définitive prônée par certains. Du côté francophone, l'idée fait son chemin, mais sans enthousiasme. Le climat général du pays est tempéré, subissant une influence maritime pendant la majeure partie de l'année. Toutefois, des températures plus marquées peuvent se faire sentir en juillet et en janvier, selon les années. Régions et CommunautésLa Belgique est un Etat fédéral. Elle comprend dix provinces depuis 1995 : cinq font partie de la région flamande : Anvers, Limbourg, Brabant flamand, Flandre orientale et Flandre occidentale. Les cinq autres font partie de la région wallonne : Brabant wallon, Hainaut, Liège, Luxembourg et Namur. Il existe trois Régions correspondant à des territoires bien définis :
Cœur administratif de l'Europe, elle héberge le siège de nombreuses institutions de l'Union Européenne (dont la Commission et le Parlement européen, partagé avec Strasbourg) ainsi que le siège européen de l'Otan. Objet de toutes les convoitises en raison de son statut d'enclave à majorité francophone, techniquement située sur le territoire flamand, fréquentée par une centaine de nationalités. La région comporte 19 communes, formant un tissu ininterrompu de quartiers densément peuplés, mais à taille humaine : seulement un million d'habitants. On peut aussi distinguer trois Communautés, reflets des différences culturelles et linguistiques :
Chaque Communauté et chaque Région possèdent des compétences propres. On peut simplifier en disant que les Communautés se chargent de ce qui est culturel (Enseignement, musées, aide à la jeunesse par exemple) et les Régions de ce qui est économique (routes, aéroports, emploi par exemple). Le niveau fédéral du pays s'occupe des questions nationales (armée, affaires étrangères, santé par exemple). Les principales régions touristiques sont définies par leurs aspects géographiques :
Outre ces grandes régions, des villes valent à elles seules le détour, ainsi que des sous-régions ; chacun s'en fera une idée en traversant ce petit pays. Villes principalesLe nom de presque toutes les villes de Belgique comportent plusieurs versions de leur nom, dans la langue de la ville et dans l'une des autres langues du pays (voire les deux). C'est un peu déroutant pour le touriste, notamment francophone, car la ville est indiquée non pas dans la langue de la région où elle se trouve mais dans la langue de la région où se trouve le panneau routier. Une même ville peut donc changer trois ou quatre fois de nom pendant un itinéraire. Cette particularité s'applique aux cités frontalières. Si vous cherchez Lille, vous risquez fort de vous retrouver dans un petit village de la banlieue d'Anvers. Il faudra en partir en cherchant ... Rijsel.
ArriverEn AutocarEurolines propose des tarifs parmi les plus bas du marché et en tout cas souvent moins cher que les compagnies aériennes En avionLa Belgique dispose de cinq aéroports principaux et de plusieurs aérodromes militaires et civils pour les avions de tourisme. Elle a un aéroport national, à proximité de Bruxelles, à Zaventem, et quatre aéroport régionaux en Wallonie, à Charleroi (Gosselies) et à Liège (Bierset) ainsi qu'en Flandre, à Anvers (Deurne) et à Ostende. Tous ces aéroports desservent des lignes internationales, mais les vols intercontinentaux partent de Bruxelles. L'aéroport de Bruxelles-National, renommé Brussels Airport en 2006, est accessible depuis de nombreuses villes européennes et internationales. De là, vous pouvez rejoindre le centre de Bruxelles en taxi (max 25,00 EUR), en bus (3,50 EUR) ou en train (3,00 EUR). Il y a un train tous les 15 minutes de l'aéroport vers Bruxelles et de là vers de nombreuses villes belges; depuis fin 2005 il y a également une liaison directe rapide vers Leuven ( 2 fois par heure du lundi au vendredi - autrement toutes les heures ). Attention: Avant de sortir de l'aéroport de Bruxelles National , vous pouvez vous faire aborder par des individus qui vous proposent un taxi: IGNOREZ-LES.!! (Si la police est dans le coin, vous ne les verrez pas) Ces personnes sont des pirates qui essaient de court-circuiter les taxis officiels qui eux se trouvent juste à la sortie de l'aéroport. L'aéroport de Charleroi-Bruxelles Sud est spécialisé dans les liaisons opérées par des compagnies aériennes à bas prix, dites "low-cost" en franglais, vers 15 destinations européennes (avec principalement la compagnie Ryanair). Une liaison par autobus est proposée vers le centre de Charleroi (1,80 EUR) et par autocar vers la gare de Bruxelles-Midi (10 EUR). L'aéroport d'Anvers-Deurne propose également quelques liaisons régulières, principalement vers le Royaume-Uni mais également Rotterdam et Milan. Les aéroports d'Ostende et Liège proposent plutôt des vols charters. L'aéroport de Liège est principalement spécialisé dans le transport du fret. En bateauDes liaisons ferry sont proposées à partir de Zeebrugge vers Hull et Édimbourg, et à partir du port d'Ostende vers Ramsgate. En trainDe nombreuses liaisons à grande vitesse vers les pays voisins :
Il existe également des trains classiques transfrontaliers en provenance de France, des Pays-Bas, de l'Allemagne et du Grand-Duché du Luxembourg, ainsi deux liaisons de jour de Bruxelles vers la Suisse- via Namur et Arlon - avec comme terminus Bâle - ou Coire - via Zurich. En voitureLa Belgique est connectée aux pays limitrophes par un réseau autoroutier dense (environ 1 500 kilomètres) et très souvent éclairé la nuit. Son réseau routier est également très dense et compte plus de 12.000 kilomètres de voiries. Quelques distances au départ de Bruxelles, avec les principales villes du pays:
CirculerEn trainPremier pays du Vieux Continent à s'être équipé en trains, la Belgique possède l'un des réseaux les plus denses au monde. Et, quoi qu'on en dise, l'un des plus fiables aussi. Le site de la SNCB (Société Nationale des Chemins de fer Belges) permet de trouver itinéraires et tarifs. Pour les jeunes de moins de 26 ans le Go Pass coûte 50 EUR et vous permet de faire 10 voyages simples en 2e classe entre deux gares belges (correspondances autorisées), points frontières exclus. Il n'est pas nominatif et permet donc de voyager à plusieurs avec un seul Go Pass ou de le prêter à des amis ou de le revendre en quittant le pays. Un billet de train peut s'acheter à l'avance - éventuellement par internet - et il n'y a pas de réservation. Il n'y a donc pas de tarifs différents selon le créneau horaire. Les trains ont deux grilles horaires : pour les jours normaux (semaine) et pour les jours calmes (week-end et fériés). En MétroPour visiter Bruxelles, Charleroi et Anvers, il peut être judicieux de garer sa voiture dans les faubourgs, et d'utiliser les nombreuses lignes de métro, de prémétro ( trams en souterrain ) ou de tramways modernes qui sillonnent ces trois villes. Pour Charleroi ou Anvers, ces métros sont quasi inexistants ou même à l'abandon. Il est très fortement déconseillé de vouloir se déplacer en métro dans ces deux villes, alors qu'à Bruxelles le métro s'y est très bien développé. En busLes lignes de bus vous attendent, plus denses encore que les lignes ferroviaires. Il existe de nombreux abonnements ainsi que des tarifs spéciaux pour une journée ou un week-end. Les personnes de plus de 65 ans se déplacent gratuitement en bus. En tramLe réseau de tramway est très dense dans la capitale tout comme à Anvers et Gand sans oublier les quelques 65 km de laligne parcourant la cote belge. A véloC'est un moyen de locomotion très répandu dans le nord du pays, et à peine utilisé en Wallonie. Il existe des pistes cyclables aménagées, et dans les grandes villes c'est parfois plus rapide pour se déplacer. A noter que vous pouvez emporter votre vélo dans les trains et dans le métro de Bruxelles moyennant un supplément. En Wallonie, depuis une quinzaine d'années, le RAVeL (Réseau Autonome des Voies Lentes) a été aménagé sur les anciennes voies de train, de tram et de halage, désaffectées. Il est ainsi possible de rallier la plupart des grandes villes à pied ou à vélo, en échappant aux grands axes automobiles. En voitureLes routes et voies rapides sont en bon état, les autoroutes sont gratuites et très souvent éclairées la nuit, la signalisation est claire. La règle de la priorité à droite est de rigueur, toujours l'observer ! Les stations services sont bien réparties à travers le pays. Attention à certaines d'autoroutes qui n'en sont pas équipées (là où des restaurants sont implantés...). Aucune aire de repos standard (en fait, de simples parkings...) n'est pourvue de sanitaires. Les limitations de vitesse :
Les contrôles radar de prévention sont généralement signalés à la radio ainsi que sur le site de la police. Attention néanmoins aux contrôles mobiles (radar dans véhicule banalisé) car il en circule toujours au moins un sur le réseau. En Flandre, les radars fixes sont nombreux et n'épargnent personne. Prudence surtout dans les rues limitées à 50 km/h. Le taux d'alcoolémie autorisé est de 0,5 g/l de sang. Il est conseillé de disposer d'argent liquide en quantité suffisante, l'immobilisation du véhicule est souvent ordonnée lorsqu'on n'est pas en mesure de régler une contravention sur place. En taxiLes taxis vous attendent à tous les points stratégiques: gare, aéroport, centre-ville. On ne hèle pas les taxis vides car ils vont certainement en mission. Vous pouvez réserver votre taxi à l'avance en appelant une compagnie, et celui-ci viendra vous chercher à votre domicile. Les tarifs actuels incluent une base fixe et comptez € du km. En stopPeu développé dans les régions industrielles, l'auto-stop fonctionne relativement bien à la sortie des villes universitaires. Il n'y a pas d'autre obstacle que la méfiance réciproque. VisiterLa Belgique est peuplée depuis les temps les plus anciens de la préhistoire européenne. Traversée de tous temps par les populations migrantes, elle a connu une forte influence celtique à travers les Gaulois. Envahie par les romains, puis par les Francs, elle fut par deux fois l'épicentre des grands royaumes qui préfigurent la France et l'Allemagne médiévales : Clovis est né à Tournai tandis que la lignée de Charlemagne est originaire du bassin liégeois de la Meuse. Au terme du Moyen Age, le territoire est partagé, envahi, conquis et repris par les Français, les Hollandais, les Anglais, les Espagnols... En 1830, après les derniers soubresauts de l'empire français (Waterloo, 1815) et l'administration hollandaise, le pays prend son indépendance. De ce perpétuel carrefour sont nées un chapelet de villes historiques, presque toutes fortifiées, ayant connu leur heure de gloire à des époques différentes, conservées de diverses manières. Il en reste un kaléidoscope de l'histoire du pays, partagé entre abbayes en ruine, maisons particulières classées au Patrimoine mondial de l'Unesco, dédales de ruelles médiévales ou vestiges de l'industrie minière. Se reporter aux pages wiki de chaque ville est encore la meilleure façon de préparer son voyage, à moins de passer plusieurs semaines au pays. La nature se décline par contre en quatre ou cinq grandes zones géographiques. La moitié nord du pays se distingue par une densité de population importante, jusqu'à la côte belge. Pourtant, les abords des canaux industriels, aujourd'hui inusités, offre de magnifiques balades. Les amateurs d'ornithologie ne pourront manquer le parc naturel du Zwin, sur la côte. Au milieu du pays, une large bande de terre se partage entre les cultures agricoles qui firent la richesse du pays avant l'industrialisation : élevage bovin, céréales, betteraves, fruitiers à travers le Hainaut, la Hesbaye et le Condroz. Au sein de cette bande, impossible de comparer le Tournaisis aux coteaux Liégeois ! Plus au sud encore, l'Ardenne offre ses douces collines au promeneur, culminant à 694 mètres à lest du pays. L'extrême sud du pays est occupé par une Gaume aux reflets de Lorraine française, quand ce n'est pas la Toscane; C'est en effet là que l'on cultive la vigne donnant l'un des seuls vins du pays -en tous cas le moins méconnu. La Belgique partage enfin avec sa voisine néerlandaise l'une des densités de géocaches les plus fortes au monde. Parler- Le français est parlé dans la région wallonne et à Bruxelles et il comporte quelques particularités appelées belgicismes que les autres francophones du monde découvriront avec plaisir. Le français est aussi largement compris par les gens habitant en Flandre mais il est néanmoins très déconseillé de le parler. Les Flamands vous prendraient pour un belge francophone qui se croit "en pays conquis" et certains pourraient même prendre cela pour une véritable provocation. Il vaut mieux commencer la conversation en anglais. Lorsqu'ils s'aperçoiveront que vous êtes un francophone issu d'ailleurs que du sud de la Belgique, ils se feront en général un plaisir de parler la langue de Molière avec vous. - Le wallon était largement répandu au début du 20ème siècle quand le français n'était pas obligatoire. Aujourd'hui, un majorité de Wallons n'en ont plus qu'une connaissance passive. La connaissance active est très minoritaire. Par contre, il existe encore une littérature et du théâtre en wallon. Il se compose de quatre dialectes principaux, eux mêmes divisés en une multitude de parlers, dont il ne reste que les accents et quelques mots bien spécifiques. - Pour citer les autres langues régionales, on retrouve : le picard (dans le Hainaut occidental apparenté au parler du Nord de la France et différent du wallon), le gaumais (une variante du lorrain), le champenois (limité à trois villages dans le sud de la province de Namur) mais aussi le luxembourgeois autour d'Arlon, sans oublier le bruxellois qui est facilement reconnaissable car il est stigmatisé par les imitations de l'accent belge. Il est le reflet du mélange des cultures dans la capitale et prend historiquement sa source dans le parler brabançon médiéval, les variantes du flamand des villes voisines, le français pratiqué par la cour brabançonne et la bourgeoisie, le castillan de l'occupant espagnol et, aujourd'hui, des accents inspirés par la diaspora maghrébine. - Le néerlandais tel que parlé aux Pays-Bas est appris à l'école aux jeunes enfants de la région flamande même si, à la maison, ils parlent plutôt le flamand terme générique qui regroupe l'ensemble des idiomes de Flandre qui varient d'une région à l'autre. - L'allemand est pratiqué mais rarement sauf dans la zone frontalière de la région wallonne avec l'Allemagne, appelée Cantons de l'Est. La jeune génération y tend à parler moins bien le français que l'allemand, au contraire de leurs parents. AcheterLa plupart des touristes apprécient le chocolat belge et les pralines fourrées de toutes sortes de ganaches, d'alcools ou de fruits, que l'on peut se procurer partout dans le pays (leur prix varient en fonction du prestige de la marque). Ils apprécient aussi les "bières trappistes", seules à être brassées sous le contrôle et la responsabilité de la communauté monastique. Six bières belges portent cette appellation: la Chimay, l'Orval, la Rochefort, la Achel, la Westmalle, et la Westvleteren, cette dernière n'étant vendue qu'à l'abbaye et dans le bistrot d'en face. Le pays se vante de compter plusieurs centaines de bières différentes, ce qui est à la fois faux et vrai. Il existe quelques dizaines de brasseries, indépendantes ou sous-traitantes, qui brassent plusieurs recettes différentes (des confréries folkloriques locales ne disposant pas d'installations brassicoles, par exemple, peuvent ainsi confier la fabrication de leur recette à une brasserie distante de plusieurs dizaines de kilomètres), elles-mêmes déclinées en plusieurs variantes. Il existe donc plus de mille bières différentes, portant plusieurs centaines de noms, brassées par quelques dizaines d'établissement... L'arrière-pays rural continue de produire d'innombrables produits du terroir, fromages, alcools, charcuteries et confitures. MangerToutes sortes de restaurations sont possibles, la plupart des villes sont cosmopolites et de nombreuses gastronomies y sont proposées mais la Belgique dispose de sa propre culture culinaire. Le mythe du cornet frites-mayonnaise que l'on mange dans les "fritkot" (également appelés friteries ou baraques à frites) et du moule-frites mangé à la côte ravissent toujours autant les Belges et leurs visiteurs. Mais il existe des spécialités typiques, souvent cuisinées au terroir à la bonne franquette, et qui vont au-delà de cela:
On retrouve aussi une grande variété de fromages:
Laissez-vous tenter par les gaufres de Liège et de Bruxelles (dont les noms sont généralement inversés dans les autres pays) et les "spéculoos", biscuits faits à base d'épices et de sucre roux, qui se dégustent surtout au moment de la "Saint-Nicolas" et de Noël. A essayer aussi: la glace au "spéculoos", le "cramique" (pain aux oeufs et aux raisins), le "craquelin" (pain brioché semblable au cramique, avec des morceaux de sucre au lieu des raisins), la tarte au sucre, les matons(en flamand, mattetaarten)... RestaurantsBoireLa renommée de la bière belge n'est plus à faire mais ce ne sont pas forcément les marques les plus connues qui vous séduiront le plus. On recense actuellement pas moins de 680 bières brassées en Belgique, dont la plupart déclinées en plusieurs brassins. Au total, bien qu'aucun décompte officiel n'existe, plus de 2000 étiquettes différentes existeraient en Belgique. Elles peuvent être réparties en plusieurs catégories :
Se loger
Routard
ApprendreTravaillerLe désavantage pour le travail est la langue. Quand vous devez vous déplacer d'un côté à l'autre de la Belgique, le néerlandais et le français sont vraiment des atouts pour trouver du travail. VolontariatLe Service Volontaire International (SVI) est une association de jeunesse pluraliste Belge gérée par et pour des volontaires. L'association agit principalement dans le domaine du volontariat international en tentant de rendre le volontariat au plus grand nombre et en particulier aux jeunes en situation de crise. En Belgique, le SVI organise plusieurs projets durant l'été ouverts à de jeunes adultes. Ces projets consistent à travailler bénévolement au sein d'une association locale avec d'autres volontaires internationaux pour une période de deux semaines. Durant cette période, les volontaires découvrent la Belgique autrement et sont logés et nourris. Il n'y a pas de de frais d'inscription, tout est gratuit mais on demande un véritable motivation pour le projet aux participants. Le SVI est membre du BITS, Bureau International du Tourisme Social. SécuritéLa Belgique ne présente pas réellement de problème au niveau de la sécurité. Seuls certains quartiers défavorisés des grandes villes sont à éviter lorsque la nuit tombe. RespecterLes Belges sont assez tolérants. Suivez les règles de la courtoisie généralement admises et vous serez bien accueillis. Cependant il existe des règles particulières à la Belgique à respecter.
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