Suriname
Comprendre[modifier]Géographie[modifier]Climat[modifier]Histoire[modifier]Population[modifier]Fêtes et jours fériés[modifier]
Régions[modifier]Les dix districts administratifs du Suriname peuvent être regroupés en trois régions :
Villes[modifier]Autres destinations[modifier]Arriver[modifier]
ou visa touriste 20 € délivré de suite, valable 90 jours après la date d'entrée (sans photo)
En avion[modifier]Pendant la semaine on peut prendre KLM ou Suriname Airways direct à Paramaribo d'Amsterdam. Par contre, Martinair va à Paramaribo les Mardi et Dimanche et est a priori beaucoup moins cher que les deux autres. En bateau[modifier]Depuis Saint-Laurent-du-Maroni, la traversée du Maroni vers Albina se fait en pirogue au tarif officiel de 5 € environ. Ne pas hésiter à faire jouer la concurrence entre les piroguiers, les prix peuvent descendre jusqu'à 2 €. Une fois de l'autre coté du fleuve des taxis vous attendent pour vous emmener à Paramaribo pour environ 10 € par personne. En voiture[modifier]Le bac « La Gabrielle » permet la traversée du fleuve Maroni en voiture. En avril 2009, il en coûtait 33 € pour un véhicule avec son chauffeur, plus 4 € par passager. Pour circuler au Suriname avec un véhicule français il faut une assurance spéciale que l'on peut contracter à Cayenne chez Monceau Assurances par exemple, en face du consulat. Compter environ 90 € pour un véhicule de 8 CV fiscaux pour une durée de 2 mois. Circuler[modifier]En bateau[modifier]Possibilité d'organiser une remontée de la Tapanahoni depuis Saint-Laurent-du-Maroni. Pour se rendre à Galibi, partir de Saint-Laurent-du-Maroni également, d'Awala-Yalimapo ou d'Albina. En avion[modifier]En train[modifier]Il n'y a pas de liaison ferroviaire pour les voyageurs actuellement en activité. En autocar[modifier]En voiture[modifier]Attention : le Suriname est un des deux seuls pays d'Amérique du Sud, avec son voisin le Guyana, où la conduite est à gauche. Le permis de conduire international est nécessaire si vous souhaitez conduire vous-même un véhicule. Parler[modifier]La langue officielle est le néerlandais mais la majorité des personnes que vous rencontrerez se débrouille très bien en anglais. La lingua franca est le sranan tongo (familièrement appelée le "taki taki"), langue locale créole parlée par une grande partie de la population (surtout par les nouvelles générations). Acheter[modifier]Le taux de change de l'euro étant assez intéressant, vous pourrez profiter de voyage pour faire quelques achats. Vous trouverez de nombreuses boutiques à Paramaribo, mais attention, de nombreux articles sont des copies et cela risque de poser problème lors de votre passage à la douane au retour. Manger[modifier]Grande variété culinaire à cause des influences javanaises, hindous, amérindiennes etc... Boire un verre / Sortir[modifier]Se loger[modifier]Plusieurs ghesthouses sympathiques dans le centre de Paramaribo :
Apprendre[modifier]L'Université de Suriname [1] est la seule université dans le pays. Cependant, les étudiants qui désirent y aller doivent avoir une bonne maîtrise du néerlandais puisque tous les cours sont donnés dans cette langue. Travailler[modifier]En tant qu'étranger, travailler au Suriname sans permis est illégal. Si vous êtes ressortissant d'un pays de la communauté caribéenne, il peut être facile d'obtenir un permis de travail. Des échanges existent également entre les Pays-Bas et le Suriname, en particulier pour les emplois qualifiés. Sécurité[modifier]Comme partout ailleurs, utilisez le sens commun et la logique ! À Paramaribo, la présence de la police et des forces armées pourrait vous rassurer. Évitez de vous promener seul après la tombée du jour, utilisez le taxi, c'est relativement bon marché. Évitez le jardin des palmistes la nuit, c'est un haut lieu du trafic de drogue. D'une façon générale évitez d'arborer trop ostensiblement bijoux, téléphones portables et appareils photo qui pourraient attirer la convoitise de quelque brigand. En dehors de la capitale, pas de problème notable à signaler ; il est possible de circuler tranquillement dans à peu près tout le pays, y compris dans les zones plus difficiles d'accès. Santé[modifier]Si vous arrivez d'un pays touché par la fièvre jaune, le certificat de vaccination est obligatoire. La présence du paludisme dans certaines zones de l'intérieur (le long du fleuve Maroni ou de son affluent la Tapanahoni) peuvent nécessiter la prise d'un antipaludéen mais ça n'est pas une obligation ; discutez-en avec un médecin. Respecter[modifier]Rester en contact[modifier] |
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